Auguste Perret décède le 25 février 1954. Sa dépouille est exposée au Musée des travaux publics (Palais d’Iéna), veillée par ses anciens disciples, avant d’être inhumée au cimetière Montparnasse.
Une nouvelle vague de porte-paroles hagiographiques comme Bernard Champigneulle (1959) ou Marcel Zahar (1959) poursuivent le processus de légitimation engagé de son vivant. D’autres comme Peter Collins
(1959) analyse le lien entre l'architecture de Perret et l'histoire technique du béton armé.
Le personnage, quant à lui, est dévoilé dans de rares publications de souvenirs de contemporains comme celle de Marie Dormoy (1963), qui aura été le grand amour de sa vie. Si l'homme reste insaisissable, son œuvre, sans cesse questionnée, est encore source d'interprétations nouvelles.