Rénovation urbaine de l'ilot Édouard-Anseele, Roubaix (1958-1969)
Roubaix entame très tôt sa reconversion post-industrielle tout en voulant éradiquer l’habitat insalubre de ses quartiers centraux. L’intervention de Gillet fait table rase de l’existant sur plusieurs hectares pour édifier un nouveau quartier d’habitation et d’activités, composé de bâtiments en forme de tours et de barres dont le plus grand et le plus imposant est passé à la postérité localement sous le nom de « L’Os à moelle » en raison de l’évasement de ses extrémités. L’ensemble a fait depuis l’objet d’une réhabilitation, et le centre commercial a été détruit et reconstruit.